Il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé !

Les amères leçons du passé doivent être réapprises sans cesse.

Le problème aujourd'hui ce n'est pas l'énergie atomique, mais le coeur des hommes.

La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie.

Le hasard c'est Dieu qui se promène incognito.

Albert EINSTEIN& nbsp;     

Sous les lunes maléfiques
Ma tristesse s’est posée
Des pensées mélancoliques
Viennent s’y désaltérer.

Et aux confins de mon âme
File l’illusion trop triste
Dans une agonie infâme
De mon cœur qui insiste.

Sur mon visage de marbre
Mon regard est naufragé
Cœur transpercé par le sabre
De la froideur d’un secret

Voilà que le jour s’enfièvre
Dans les ronces du désir
Mais je masquerai mes lèvres
L’aube n’a qu’à défaillir…

Un corps confiant dans un oubli subtil,
Les yeux fardés en flèches si fébriles
Une bouche comme une fleur nouvelle
Courbes candides aux parfums sensuels.

Douce métamorphose libertine
D’une  rencontre quelque peu coquine…
Enfin prendre des poses nonchalantes
Dans les voiles des ténèbres charmantes.

Nous laisserons éclore les passions
Jusqu’au plus profond  de nos yeux frisson
Reins cambrés séduisant notre infini
Si tendrement au ventre de la nuit.

Nous deviendrons esclaves de nos corps
Où germera une nouvelle aurore
Le désir qui desséchera nos lèvres
La sensualité nous donne la fièvre !

Je serai au bord de tes yeux pendue,
Le secret infernal des beautés nues,
J’attendrai tes câlins  en avalanches
Comme de tendres flots couleur pervenche

De belles langueurs et amers frissons
Les seins frissonnants à tes tentations…

Mais l’heure va s’évanouir.
Comme un voleur de sourires

Le matin va s’allumer
Et nos cœurs seront légers…

Oui, du haut de mes vingt cinq ans
Parler de souvenirs d’antan…
Tant de trahisons malfaisantes
Tant de déceptions déchirantes.

Lutte contre un moulin à vent
N’altérant pas les océans…
Des orages blessent mon cœur…
Comment oublier ma rancœur ?

*Dans l’alchimie d’un chagrin
La vie ne vaut jamais rien
Mais seulement quand mes yeux
Naviguent dans ses beaux yeux
S’enflamment et  prennent feu
Non, non rien ne vaut la vie
La vie et son alchimie…*

Et perdre son temps à rêver
D’avenir roué de baisers
Battements d’un cœur animé
Pour un amour tant désiré.

Mais la mémoire égrène en nous
L’incertitude en gestes fous
Et voile toutes mes lumières
A l’aube, je me désaltère.

*Dans l’alchimie d’un chagrin
La vie ne vaut jamais rien
Mais lorsque  je tiens sa main
Sa main posée dans ma main
Afin d’espérer demain
Non, non rien ne vaut la vie
La vie et son alchimie*

Pour gravir les marches du temps
En cortège avec le printemps
Son emprise s’accentuant
Je l’aimerai plus tendrement

J’écris pour alléger le temps
Gommer les pleurs du firmament
Et faire jaillir l’astre nouveau
Afin de moissonner les mots.

*Dans l’alchimie d’un chagrin
La vie ne vaut jamais rien
Mais enfin lorsque sa bouche
Viendra caresser ma bouche
Je ne serai plus farouche
Non, non rien ne vaut la vie
La vie et son alchimie*